Cholestérol & violence routière

A une anomalie touchant le cholestérol peut être associée à un comportement routier à risque dû à une impulsivité violente. Cette impulsivité peut devenir incontrôlable et amener le sujet à une issue fatale, le comportement conduisant à prendre des risques inconsidérés. Chez un individu se trouvant dans cette situation, il existe une forte prédisposition à l’accident de la route sans doute à cause de cette impulsivité qui consiste à agir avant de réfléchir (forcer le passage à niveau, doubler dangereusement un véhicule en haut d’une côte, etc.).

Ce type de comportement a fait l’objet de travaux expérimentaux, et ce, dans le cadre d’une étude globale. Celle-ci avait pour but de montrer une relation entre certaines morts violentes liées au comportement (suicide, accident de la route, etc.) et le cholestérol. Des échantillons de sang ont été prélevés, le matin à jeun, à de jeunes hommes au tempérament impulsif. Ces échantillons ont permis de constater une relation entre un faible niveau de cholestérol LDL et un comportement violent qui déteint sur la manière de conduire un véhicule. L’étude fut refaite et il s’est avéré que non seulement le niveau de cholestérol LDL est plus bas que la normale, mais au final le cholestérol total.

En résumé : un taux de cholestérol total faible conduit à un comportement à risque dû à une forte impulsivité agressive.

En fait le cholestérol est un élément incontournable dans la construction des cellules cérébrales. Il est impliqué dans la structure des membranes cellulaires. Toute anomalie touchant le niveau de cholestérol aura une incidence sur le comportement parce les cellules ne fonctionnent alors plus normalement.

Il est à noter que le cholestérol est associé à un neuromédiateur, la sérotonine, qui joue un rôle fondamental dans le contrôle de l’humeur et l’état psycho-émotionnel. Ceci explique sans doute cela !

 

Protozoaire + faible cholestérol = danger public sur la route 

 

Une importante fraction de la population française est parasitée par un protozoaire appelé Toxoplasma gondii.

Toxoplasma gondii n’a pas les enzymes nécessaires à la synthèse des stérols, en particulier le cholestérol. Il lui faut donc prélever dans son environnement cet élément nutritionnel qui lui est indispensable. Indispensable pour sa réplication, ce micro-organisme utilise le cholestérol, mais pas n’importe lequel ! Il ne capte que le cholestérol endogène autrement dit celui qui est au sein de la cellule du cerveau où il s’est réfugié. Ensuite il ne consomme plus que le cholestérol exogène, c’est-à-dire celui qui est au dehors de la cellule, donc dans le sang, et ce pour 2 raisons :

- ne pas entraver sa prolifération dans la cellule qui ne se fait qu’avec le cholestérol endogène,

- se développer ensuite et devenir un solide protozoaire !

 

Conclusion : il y a toutes les raisons de croire que la présence de Toxoplasma gondii (voir article « parasite et accident routier » ) chez un sujet ayant un faible niveau de cholestérol conduira à un conducteur véritable danger public sur les routes !

 

Références bibliographiques

 

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